Enjeux de l’hérédité sur les maladies mentales
Au premier abord, une telle thématique semble être assez farfelue, car les croyances communes sont catégoriques sur le sujet. Vous vous dîtes alors qu’une maladie mentale ne se transmet pas par les gènes. Préparez-vous à un véritable choc vu que cette idée reçue n’est pas complètement avérée. Est-ce que l’hérédité a un rôle à jouer au niveau des maladies mentales ?Au premier abord, une telle thématique semble être assez farfelue, car les croyances communes sont catégoriques sur le sujet. Aujourd’hui, vous en avez la confirmation. À noter que certains troubles mentaux possèdent un héritage génétique important. Néanmoins, les scientifiques ne sont pas encore parvenues à identifier avec précision le mécanisme qui pousse cette charge génétique à agir sur la descendance.
Les facteurs qui conditionnent le métabolisme humain
Comme vous ne le savez, l’avancée de la science se fait de façon lente mais progressive. Chaque jour, des éléments de réponses permettent d’affiner les analyses sur la transmission de ces maladies d’origines mentales de génération en génération. La propagation et l’évolution des maladies connues actuellement sont le fruit de la rencontre entre l’environnement et la génétique. En effet, ces maladies se manifestent en fonction de plusieurs facteurs déterminants. Le rôle des gènes dominants est ici primordial, car il est fort probable que la maladie n’apparaisse jamais tant que certains éléments perturbateurs ou déclencheurs ne sont pas présents. En ce sens, on se confronte à une question de probabilité. De part cette constatation, il est presque impossible de déterminer si l’enfant d’un parent ayant contracté une maladie mentale sera atteint ou non du même trouble.
La schizophrénie et ses répercussions
Le rôle des gènes dominants est ici primordial, car il est fort probable que la maladie n’apparaisse jamais tant que certains éléments perturbateurs ou déclencheurs ne sont pas présents. Les premiers symptômes apparaissent généralement au début de l’âge adulte, c’est-à-dire entre 15 à 30 ans. Ce qui caractérise cette psychose, c’est le détachement total des patients de la réalité. De plus, ils sont également soumis à une anosognosie grave. En d’autres termes, durant leurs crises, ces personnes ne sont même pas conscientes de leur condition. De ce fait, il est presque impossible de le faire entendre raison et de le traiter correctement. Selon les statistiques, environ 1 % de la population souffre de cette psychose. Ce qui est alarmant, c’est que 40 % des descendances de parents atteint de schizophrénie deviennent à leurs tours schizophrènes. Dans 15 % des cas, les enfants développent des troubles psychotiques différentes.
Les troubles bipolaires et l’hérédité
Cette psychose a récemment été découverte et elle est de loin la plus terrible et la plus difficile à traiter. Seulement 0,4 % de la population est atteinte de cette maladie. Elle se caractérise par deux phases bien distinctes, à savoir l’épisode maniaque et dépressif. De manière générale, une personne bipolaire est très enjouée et pleine d’entrain. Cependant, sans qu’on s’y attende, elles peuvent changer d’humeur très brusquement. À l’inverse de ce comportement, ces patients se sentiront particulièrement tristes et déprimés. À l’inverse de ce comportement, ces patients se sentiront particulièrement tristes et déprimés. Les symptômes sont plus intenses lorsque les parents en souffrent également.